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🆁​🅴​🅽​🅲​🅾​🅽​🆃​🆁​🅴​🆁 🅲​🅾​🆄​🅲​🅾​🆄 🅴​.​🅿 «Version fran​ç​aise st​é​r​é​o»

by CouCou

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bmurator Very much looking forward to this! Only a couple of days now... :) I am sure CouCou can do anything she puts her mind to! Highly recommended!!!

Edit: I hear echoes of Bowie & many others - what a wonderful little EP this is! I am looking forward to more CouCou... :) Highly recommended!!!
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Looking So Much Forward To Hear the Whole Album 02-02-24

Bought/Pre-Ordered 12-01-24

Kindly Lars, Denmark 🇩🇰

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    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.

    🆁🅴🅽🅲🅾🅽🆃🆁🅴🆁 🅲🅾🆄🅲🅾🆄 «Version française stéréo» features a brand new stereo mix of CouCou's debut EP created using the recently rediscovered twin track instrumental backing tapes. A lovingly restored digital copy of the tapes has been combined with vocals by CouCou derived from the original mono master using advanced new machine learning technology, to create a stunning stereo version of the EP which was previously only available in mono. As well as this beautifully restored audio, purchase also includes master quality album cover and track art, stunning illustrated lyric booklets in English and French with detailed historical notes by renowned Princeton academic Prof Murray Oberheim containing beautiful period images of CouCou and her bohemian Parisian friends, a link to the 1080p HD video of 'Marie-Pierre', 12 beautiful Cou screensavers and a bonus track available *only* with this version of the debut EP.

    🆁🅴🅽🅲🅾🅽🆃🆁🅴🆁 🅲🅾🆄🅲🅾🆄 «Version française stéréo» présente un tout nouveau mixage stéréo du premier EP de CouCou créé à l'aide des bandes d'accompagnement instrumentales à deux pistes récemment redécouvertes. Une copie numérique des bandes restaurée avec amour a été combinée avec des voix de CouCou dérivées du master mono original utilisant une nouvelle technologie avancée d'apprentissage automatique, pour créer une superbe version stéréo de l'EP qui n'était auparavant disponible qu'en mono. En plus de cet audio magnifiquement restauré, l'achat comprend également une pochette d'album et des pochettes de titre de qualité supérieure, superbes livrets de paroles illustré en anglais et en français avec des notes historiques détaillées du célèbre professeur Murray Oberheim, universitaire de Princeton, contenant de belles images d'époque de CouCou et de ses amis bohèmes parisiens, un lien vers la vidéo HD 1080p de 'Marie-Pierre', 12 magnifiques écrans de veille Cou et un titre bonus disponible *uniquement* avec cette version du premier EP.
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  • Full Digital Discography

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1.
Je te prête ma blouse Cela vous va bien Je te prête ma jupe Je suis mieux dans le tien Je te prête mes chaussures Je te prête mes bas Je te prête mon soutien-gorge Tu dis "ne touche pas" Tu es ma seule Marie-Pierre Et je veux seulement toi Mais j'aimerais juste pour une fois Que tu ne sois pas plus belle que moi Je te prête du rouge à lèvres Mes bijoux aussi Mais ne porte pas le collier Je t'en supplie Tu me fais me sentir moche Vous êtes si belle Est-ce que tu le fais exprès ? Je veux juste que le sol m'avale Tu es ma seule Marie-Pierre Et je veux seulement toi Mais j'aimerais juste pour une fois Que tu ne sois pas plus belle que moi Marie-Pierre Marie-Pierre Marie-Pierre Marie-Pierre
2.
Tu m'as vu me promener en ville Tout le monde regarde mes chevilles Partout dans la ville Les montagnes peuvent s'effondrer jusqu'à la mer Et le ciel tombe - ça ne m'arrêtera pas Porter un voile et des talons Dior Partout dans la ville Pourquoi une pauvre fille devrait-elle choisir Entre Dieu et des talons si beaux ? Portant un voile et des talons Dior M'aime-t-il pour mon corps ? Ou est-ce qu'il m'aime pour mon âme ? Portant un voile et des talons Dior Portant un voile et des talons Dior Portant un voile et des talons Dior Des talons Dior Des talons Dior Des talons Dior
3.
Le tigre a des rayures Ses griffes sont si pointues Des yeux comme des charbons ardents Mâchoires puissantes Le chasseur avec son arme La fille avec son charme Le Tigre aime la chair fraïche Tirer la sonnette d'alarme Le lion est fort Le serpent est rusé Mais le tigre est furtif La poursuite l'amuse Le chasseur avec son arme La fille avec son charme Le Tigre aime la chair fraïche Tirer la sonnette d'alarme Le tigre t'aura-t-il ? Ou seras-tu trop fort Mais qui sourira Se lancer dans la mise à mort? Le Tigre aime la chair fraïche
4.
Fille en cuir de moto Ta tête tourne toujours Tu peux voir ce que pensent les gars Garçon de moto Ta veste dit détruire Tu es tout seul et le monde s'effondre Oh mais les fleurs ne lui plairont pas Les livres ne feront que la taquiner Elle préfère détruire le monde Comme point de principe Fille serieuse Ta tête tourne Tu ne vois pas ce que pensent les gars Garçon de moto Sortir et profiter Est-ce que ce sont des larmes ou des bières que tu bois? Oh mais les fleurs ne lui plairont pas Les livres ne feront que la taquiner Elle préfère détruire le monde Comme point de principe

about

The following is the text from the 'Salut les Copains' numéro spécial, 'CouCou: femme de la nuit' first published in May 1964. We've compiled a special reinterpretation of the original feature with integrated text and stunning images by Cou's then manager Daniel Fillipachi, but without the advertisements and other extraneous text and this is presented as the main body of the booklet which accompanies the music downloads when this release is purchased...

Ce qui suit est le texte du numéro spécial « Salut les Copains », « CouCou : femme de la nuit », publié pour la première fois en mai 1964. Nous avons compilé une réinterprétation spéciale du long métrage original avec du texte intégré et des images époustouflantes par le directeur de Cou's de l'époque. Daniel Fillipachi, mais sans les publicités et autres textes superflus et ceci est présenté comme le corps principal du livret qui accompagne les téléchargements de musique lors de l'achat de cette version...

...she comes out of nowhere, barely visible in the nightlight, a shimmer of reflected neon and street lighting, clicking and swaying on her kitten heels, wearing a modish black patent leather coat, cut off at the hips, a black beehive wig - the latter both loaned her by her friend Nana who, along with another friend, Jacky will accompany her for most of our journey into the Paris netherworld, armed with a small mobile wardrobe of replacement wigs, clothes, shoes....they huddle together in greeting at our designated meeting spot, a flurry of 'bisous', cigarette-from-cigarette lighting and preening fingers, like mothers tidying their offspring for a school outing.... 'We're not too late I hope' asks Cou lighting up, but in her usually airy tone, as if nothing she did could ever inconvenience anyone too much anyway, as if life's just a breeze, which for her at least, it usually is, and one that's wafted her here from....
...elle sort de nulle part, à peine visible dans la veilleuse, dans un miroitement de néons et d'éclairage public, claquant et se balançant sur ses petits talons, vêtue d'un manteau en cuir verni noir à la mode, coupé aux hanches, d'une perruque noire en forme de ruche. - cette dernière l'a toutes deux prêtée par son amie Nana qui, avec un autre ami, Jacky, l'accompagnera pendant la majeure partie de notre voyage dans les enfers parisiens, armée d'une petite armoire mobile de perruques, vêtements, chaussures de remplacement....ils se blottissent ensemble pour se saluer à notre point de rendez-vous désigné, une rafale de « bisous », d'allumages de cigarettes et de doigts lissants, comme des mères rangeant leur progéniture pour une sortie scolaire.... « Nous n'arrivons pas trop tard, j'espère » demande Cou s'éclaira, mais de son ton habituellement aérien, comme si rien de ce qu'elle faisait ne pouvait jamais trop déranger qui que ce soit de toute façon, comme si la vie n'était qu'un jeu d'enfant, ce qui pour elle du moins, c'est habituellement le cas, et qui l'a amenée ici depuis... ..

....here from who knows?...where?...Berlin?....Hollywood?....London, England?....the details are sketchy, her past as mutable as her seemingly endlessly reconfiguring shapes and personae....one moment she's the studious street philosopher brunette, opining on this and that with a left bank student's insolent sense of right minded self-belief, the next she's bathed in doorway shadows, hand on hip, Gitanes dangling perilously from her pout, as low, mean, blonde and frosty eyed as the most seasoned Pigalle whore... she constantly uses whores and whoredom as metaphors, the whole panoply of boudoir tricks a the palette of her art, one she makes you feel as if she's just stumbled upon and yet is as old as time... she seems to carry every dark secret of the world's oldest professions in those impenetrable black eyes, eyes that seem to back up her most bizarre pronouncements, rare though it is to be able to pin her down long enough on any one topic as to be able to glean any but the flippest glimmers of self knowledge...

....ici, de qui sait ?...d'où ?...Berlin ?....Hollywood ?....Londres, Angleterre ?....les détails sont flous, son passé aussi changeant qu'il semble être sans fin reconfigurant les formes et les personnages... un moment, elle est la philosophe brune des rues studieuse, donnant son avis sur ceci et cela avec le sens insolent d'un étudiant de la rive gauche de la bonne foi en soi, le moment suivant, elle est baignée dans les ombres des portes, la main sur la hanche, les Gitanes pendants. dangereusement par sa moue, aussi basse, mesquine, blonde et aux yeux glacials que la pute de Pigalle la plus aguerrie... elle utilise constamment les putes et la prostitution comme métaphores, toute la panoplie des astuces du boudoir dans la palette de son art, celle qu'elle fait ressentir comme si elle était tombée par hasard et pourtant aussi vieille que le temps... elle semble porter tous les sombres secrets des plus anciennes professions du monde dans ces yeux noirs impénétrables, des yeux qui semblent soutenir ses déclarations les plus bizarres, aussi rares soient-elles. être capable de la cerner assez longtemps sur n'importe quel sujet pour pouvoir glaner des lueurs de connaissance de soi, sauf les plus subtiles...

'I'm as old as time...',
'...the question I get asked most often is do you melt in the sunlight...'
'...I don't bite....often...'
',,,I'm just a yé-yé girl!...'
...all delivered with that carefree giggled encore, a laugh as light and transforming as an exhalation of smoke.... she smokes continuously, the heavy, dunglike aroma and blue haze of her Gitanes worn almost like a veil... she walks these Place Blanche streets like the home to her they are, a slinky feline friend draped on each arm like valuable mink, a riotous parade of seam-straightening and garter-flashing, they carouse and remonstrate with passersby, rub themselves up against street vendors, gendarmes....all with the same low level street insolence, tossing rejoinders behind them like a wedding confetti of insults and slutty self-assertion...they're street girls in every sense, Cou as much as any of them...this is her milieu, her theatre, her laboratory...anything and everything is tried, tasted, touched up, felt, nothing is left beyond her experience...the passersby tut, so the friends kiss each other (with tongues) to drive them even further wild... the thrill of the shock a grin spread across their faces...or they'll curse them like fishwives... there's furtive delving into handbags in shadowy alleyways...the telltale sniffs and guilty glances, whispers, ... and now we're in a backstreet bar and it's around midnight and the *real* street girls come in and it's hard to tell where the CouCou gang end and the kerb crew gang begin... the hoots and caws and yells and coos ...(and Cous?)...all grow louder as the drink flows and it's hard to make out anything much as the jukebox volume seems to rise as if in competition with them as their own drink-fuelled volume swells...and then a CouCou song comes on and she's dancing with Nana...or Jacky... or some bleary-eyed prole who's just called in for a nightcap after a late shift at the market or the factory or the sorting office or the docks and can't believe his superannuated luck... and they're swaying and singing in delightful mockery of the noise - *her* noise - emanating from the box, sll mock-heroic arm waving, comic histrionics, like l'opera brought right back down to the streets where it was born and perhaps belongs, all mannered delivery, fourth wall nods and winks and drunken falling into one another's arms when all the pretence becomes too much... and I sit and marvel as the impromptu show collapses all around me in a hysterical, drunken heap, and I wonder who is this?....what is this....where has she been?...what is she doing? ...and what will she become....?

'Je suis aussi vieux que le temps...', « ... la question qu'on me pose le plus souvent est : est-ce que vous fondez au soleil ? » '...Je ne mords pas...souvent...' ',,,Je ne suis qu'une fille yé-yé !...' ...le tout livré avec ce rappel insouciant de rire, un rire aussi léger et transformateur qu'une expiration de fumée.... elle fume continuellement, l'arôme lourd et crottant et la brume bleue de ses Gitanes portées presque comme un voile... elle arpentent ces rues de la Place Blanche comme chez elle qu'ils sont, un ami félin moulant drapé à chaque bras comme un vison précieux, un défilé déchaîné de redresseurs de coutures et de jarretières, ils font la fête et remontrent aux passants, se frottent aux vendeurs ambulants , gendarmes... tous avec la même insolence de rue, lançant des répliques derrière eux comme un confetti de mariage d'insultes et d'affirmation de soi salope... ce sont des filles de la rue dans tous les sens du terme, Cou autant que n'importe laquelle d'entre elles. ..c'est son milieu, son théâtre, son laboratoire...tout et n'importe quoi est essayé, goûté, retouché, ressenti, rien n'est laissé au-delà de son expérience...les passants tut, alors les amis s'embrassent (avec la langue ) pour les rendre encore plus fous... le frisson du choc, un sourire s'étale sur leurs visages... ou ils les maudiront comme des poissonnières... il y a des fouilles furtives dans des sacs à main dans des ruelles sombres... les reniflements révélateurs et des regards coupables, des chuchotements, ... et maintenant nous sommes dans un bar de rue et il est vers minuit et les *vraies* filles de la rue entrent et il est difficile de dire où finit le gang CouCou et où commence le gang des trottoirs... le les hululements, les croassements, les cris et les roucoulements... (et Cous ?)... tous deviennent plus forts à mesure que la boisson coule et il est difficile de distinguer quoi que ce soit car le volume du juke-box semble augmenter comme s'il était en compétition avec eux comme leur propre boisson - le volume augmente... et puis une chanson de CouCou arrive et elle danse avec Nana... ou Jacky... ou un prolétaire aux yeux larmoyants qui vient d'être appelé pour un dernier verre après un quart de travail tardif au marché ou à l'usine. ou le bureau de tri ou les quais et je n'arrive pas à croire à sa chance surannée... et ils se balancent et chantent en se moquant délicieusement du bruit - *son* bruit - émanant de la boîte, toujours un bras héroïque et moqueur, comique des histrioniques, comme l'opéra ramené dans les rues où il est né et où il appartient peut-être, des livraisons toutes manières, des hochements de tête et des clins d'œil du quatrième mur et des ivrognes tombant dans les bras les uns des autres quand toute prétention devient trop lourde... et je m'assois et je m'émerveille alors que le spectacle impromptu s'effondre tout autour de moi dans un tas hystérique et ivre, et je me demande qui est-ce ?... qu'est-ce que c'est... où était-elle ?... que fait-elle ? ...et que va-t-elle devenir....?

"...she just used to say '200 Deutschmark' as soon as they approached, because they were so obvious ...and if they had it, that was it, they were off...she'd come back a couple of minutes later as composed as if she'd just been off to powder her nose...and I thought, 'that's a good gig...!'... it's a living...and it's fun! ....but she was pretty much doomed from the start... "
Anita Berber, her Weimar Berlin squeeze... they lived and loved, floating off together on a magic carpet ride of drink, drugs, sensual pleasures, art and mutual fascination before Berber staged a one woman clifftop suicide in slow motion through the second half of the 1920s before her very own Wall Street Crash, Cou rushing back to Berlin to be at her side when she died... then, suddenly, Cou disappears without trace... now she's a blonde, black-eyed Elvgren model...now cloistered with Bambi, their loved up boudoir a George V suite, now she's a redhead, nourish jazz crooner, living like a spoilt, druggy Chandleresque younger sister, high on being high in the Hollywood hills, a movie star without a film, a household name that nobody knows...or is she a cover star for Vogue, or the Cancans de Paris peepshow?...


"... elle disait juste '200 Deutschmark' dès qu'ils approchaient, parce que c'était si évident... et s'ils l'avaient, c'était tout, ils s'en allaient... elle reviendrait quelques instants plus tard. quelques minutes plus tard, aussi calme que si elle venait de se repoudrer le nez... et je me suis dit : « c'est un bon boulot... ! »... c'est une vie... et c'est amusant ! ... .mais elle était quasiment condamnée dès le début..." Anita Berber, son compagnon de Weimar Berlin... ils ont vécu et aimé, flottant ensemble sur un tapis volant de boisson, de drogue, de plaisirs sensuels, d'art et de fascination mutuelle avant que Berber ne mette en scène le suicide d'une femme au sommet d'une falaise au ralenti pendant la seconde moitié. des années 1920 avant son propre krach de Wall Street, Cou se précipitant vers Berlin pour être à ses côtés quand elle est morte... puis, tout à coup, Cou disparaît sans laisser de trace... maintenant elle est une mannequin Elvgren blonde aux yeux noirs. .maintenant cloîtrée avec Bambi, leur boudoir adoré dans une suite George V, maintenant elle est rousse, nourrit un crooner de jazz, vivant comme une sœur cadette Chandleresque gâtée et droguée, haut dans les collines d'Hollywood, une star de cinéma sans film, un nom connu que personne ne connaît... ou est-elle une cover star de Vogue, ou du peepshow des Cancans de Paris ?...

or the leather clad yé-yé 'chou-chou' prodigy...or the sultry sapphic torch chanteuse, her song one long prolonged pout...? or the mystic beatnik poetess with her sitars and veils and Dior shoes.... or the figure curled before me now, on the shoot, with her bird nest hair and shopgirl sweater, alluring and imploring on the unsavoury looking bed of a cheap hotel room, the sound of banging headboards in the adjoining rooms almost drowning out our end of evening non sequiturs... teasing me with her bedroom patter, trying to put me off my work, "...put that down and come an d lie with me for a bit....awwww baby...bébé..." ...she importunes throughout,...breaking off only to hurl the odd snippet of revelation, tossed as casually as breadcrumbs to the ducks "...my friend Nico met Bob Dylan.... he stayed with her and he wrote her a song... then they flew off down to Greece to stay with her Mom.... lucky bitch!" ... "...I'll go on to do things that will astound you...."... "Vince Taylor was born just down the road from me...he's so much sexier than Johnny Hallyday... I borrowed his band for my first song over here... he'll be remembered as a true rock original..." ..."...I'm going to be the first French 'Bond girl' ... "...take me home... I have a very early shoot and my eyes just won't stay open any longer ...." she flops as suddenly and disarmingly as a tired child, skirtless, her wig in disarray as the tides of sleep wash over her... a bundled zzzzzing Z in our arms, we ferry our precious sleeping cargo into the waiting cab as the first glimmers of light grey the streets... the long night never ends, even as day breaks for our sleeping lady of the night...

ou le prodige yé-yé 'chou-chou' vêtu de cuir... ou la sensuelle chanteuse saphique à la torche, sa chanson étant une longue moue prolongée... ? ou la poétesse mystique beatnik avec ses sitars, ses voiles et ses chaussures Dior... ou la silhouette recroquevillée devant moi maintenant, sur le tournage, avec ses cheveux en nid d'oiseau et son pull de vendeuse, séduisante et implorante sur le lit peu recommandable d'un hôtel bon marché. chambre, le bruit des têtes de lit qui claquent dans les chambres voisines noyant presque nos non-séquences de fin de soirée... me taquinant avec son crépitement de chambre, essayant de me dissuader de mon travail, "... pose ça et viens t'allonger " ..mon amie Nico a rencontré Bob Dylan... il est resté avec elle et il lui a écrit une chanson... puis ils se sont envolés pour la Grèce pour rester avec sa mère... chanceuse salope !" ... "...Je continuerai à faire des choses qui vous étonneront..."... "Vince Taylor est né juste à côté de chez moi... il est tellement plus sexy que Johnny Hallyday.. . J'ai emprunté son groupe pour ma première chanson ici... on se souviendra de lui comme d'un vrai rock original..."..."...Je vais être la première 'Bond girl' française .. "... ramène-moi à la maison... J'ai un shooting très tôt et mes yeux ne restent plus ouverts..." elle s'effondre aussi soudainement et de manière désarmante qu'une enfant fatiguée, sans jupe, sa perruque en désordre alors que les marées du sommeil la submergent... un Z zzzzzing dans nos bras, nous transportons notre précieuse cargaison endormie dans la cabine d'attente alors que les premières lueurs gris clair des rues... la longue nuit ne se termine jamais, même comme le jour pauses pour notre endormie de la nuit...

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released February 2, 2024

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